Je profite de la sortie du vingtième tome de Largo Winch pour écrire cet article quelque peu tardif sur ma bande dessinée préférée ! J’aime tout dans cette BD : les scénarios sans cesse nouveaux de Jean Van Hamme, la fluidité du trait de Philippe Francq, le très larges panel des personnages, la complexité des histoires, Largo lui-même… !
Pour les futurs accros à Largo Winch, voici un petit topo pour vous donnez envie de découvrir la vie mouvementée du célèbre milliardaire en blue jeans.
Nerio Winch, un vieil homme d’affaires à la tête d’un empire financier de dix milliards de dollars, est mort. L’hypothèse du suicide ne tient pas très longtemps. Suspens dans le monde entier, le milliardaire n’ayant ni enfant ni héritier potentiel. A exception d’un orphelin yougoslave qu’il a secrètement adoptécpour assurer la pérennité de son groupe : Largo Winczlav .
Voilà donc Largo, devenu Largo Winch, âgé de vingt-six ans, qui hérite donc de toute sa fortune et se retrouve à la tête de l’énorme empire financier qu’est le Groupe W.
Ce play-boy en jeans doit vite apprendre les codes de ce nouveau milieu où ces milliards font de nombreux envieux et sont source de nombreux conflits.N’en faisant souvent qu’à sa tête, le jeune homme vit des aventures palpitantes avec ses amis, Simon Ovronnaz, ex-voleur suisse, et Freddy Kaplan, aviateur monégasque d’origine israélienne.
La BD, elle-même adaptée de romans, a inspiré deux films de Jérôme Salle avec Tomer Sisley. Personnellement je n’ai pas trouvé les films désagréables mais je reste quand même fidèle à la BD !
Et pour finir une mosaïque de couvertures qui valent le coup d’œil :
Bric à brac et autres bidouilleries 